Carl Hocquart Journaliste & Photographe
  • Galeries
  • Info
  • Contact

Haïti coup d'Etat 2004

Chargement…
Un étudiant s'exprime sur une tribune improvisée dans l'enceinte de la faculté de Port-au-Prince.
Les manifestants, dans les rues de Port-au-Prince, fuient sous les balles des Chimères, milices pro-Aristide.
Les rues de la capitale sont régulièrement bloquées par des barrages et des véhicules enflammés.
Les forces de police (Cimo) favorables au président Aristide dispersent les manifestants avec des tirs à balles réelles.
Au coeur d'une manifestation.
Les contestaires se cachent le visage par crainte des représailles par les Chimères (gangs pro-Aristide).
Les affrontements se soldent par de nombreux morts et blessés par balles.
Les rebelles pénètrent dans la capitale le 29 février 2004.
Le cortège est régulièrement attaqué par les "Chimères" gangs issus des bidonvilles et armés par J.B. Aristide.
Les affrontements ont fait de nombreux morts et blessés. Sur la pancarte : "Trop de sang a coulé, il faut qu'Aristide s'en ai...
Les rues de la capitale sont régulièrement bloquées par des barrages et des véhicules enflammés.
Devant le Palais présidentiel, des jeunes Lavalas (nom du mouvement politique du président Aristide) rappellent que le présid...
Le dimanche 29 février, les rebelles qui s'étaient emparés de tout le nord du pays entrent dans la capitale.
Durant plusieurs mois les manifestations se poursuivent contre le président Aristide.
Les manifestations se déroulent régulièrement au pas de course.
Jean-Bertrand Aristide intervient à la télévision et tente de ramener le calme.
Les leaders étudiants à la tribune dans l'enceinte de l'université de Port-au-Prince.
Les gangs armés pro-Aristide, disposés sur le parcours des étudiants, tirent sur le cortège.
Une étudiante anti-Aristide.
Début mars, les Marines débarquent à Port-au-Prince.
Un homme demande justice pour les victimes d'un massacre survenu le 11 février dans la commune de Saint-Marc ( Artibonite) où...
Début mars, les Marines débarquent à Port-au-Prince.
Février 2004. Les manifestants demandent le départ de Jean-Bertrand Aristide accusé non seulement de corruption mais aussi d'...
 Climat tendu, début mars,  pour les Marines qui débarquent à Port-au-Prince.
Manifestation des anti-Aristide.
Début mars, les Marines débarquent à Port-au-Prince.
Courant février, en dépit de la peur des gangs d'Aristide, la contestation se poursuit.
A proximité de l'université de Port-au-Prince.
Les Marines encadrent une manifestation qui fête le départ du président. Des affrontements avec les gangs feront sept morts.
Quelques heures après l'annonce du départ d'Aristide, le 29 février 2004, les pillages des bâtiments publics commencent.
Les Marines encadrent une manifestation pour fêter le départ du président. Des affrontements avec les gangs feront sept morts.
Après l'annonce, le 29 février 2004, du départ d'Aristide, les pillages des bâtiments publics commencent.
Des étudiants quittent le centre-ville après des affrontements avec "Les Chimères", milices pro-Aristide.
Recherche

Propulsé par PhotoDeck